Da edição em francês de Moçambique para a mãe se lembrar como foi, duas recensões criticas em Anazon:
«Mozambique: pour que ma mère se souvienne» de Manuela Gonzaga, correspond à une vague très récente d’écrivains qui cherchent à poser un nouveau regard sur le passé colonial portugais récent, et sur le processus de décolonisation qu’ils ont connu. C’est un regard neuf car il ne s’agit pas seulement de «souvenirs», cela va bien au-delà: c’est une fenêtre sur les contradictions de l’auteure qui réfléchit dans le moment présent à une époque vécue dans des circonstances sociales et idéologiques très différentes. C’est cette tension qui se révèle dans «Mozambique» comme quelque-chose dont l’auteure semble avoir une pleine conscience, jouant aussi bien avec ses souvenirs qu’avec l’analyse historique du contexte qu’elle dresse pour nous. C’est pour cela que ce livre ne s’adresse pas seulement à ceux qui ont connu le « Mozambique» de l’Empire tardif et de la guerre coloniale; c’est un livre qui s’adresse à tout le monde. Des historiens qui recherchent une écriture fluide, au lecteur curieux quant au passé portugais le plus récent, et amoureux des pages extraordinairement bien écrites. - Rui Gomes Coelho (historiador)
E ainda:
'Histoire de la périphérie du colonialisme européen contemporain»
«Quelle est la scène central du "Mozambique" (de Manuela Gonzaga)? A mon avis, c'est l'Histoire de la périphérie du colonialisme européen contemporain que permet rèflèchir, travers un jeux de miroirs, sur la vrai place du Centre actuel. Dans ce cas, il y en aura que des importantes leçons sur comment écrire des memoires (individuelles aussi bien que collectives) du XXéme siècle. C'est un livre où des histoires et des souvenirs se rejoignent avec une sérénité et une fraîcheur émouvantes. La dimension de la tâche que l'écrivaine ait proposé etait significative dans la mesure où elle a dû rappeler les bonheurs autant que les déchirements. A la fin, on voyagent dans le temps et dans le espace, sur les ailes de sa vision contrastée du monde . En effet, en se pérmettent de se déambuler entre des souvenirs reconstruites d'une jeune fille, c'est comme si nous pourrions atteindre à une partie importante de tout un siècle - Edilson Motta.
«Mozambique: pour que ma mère se souvienne» de Manuela Gonzaga, correspond à une vague très récente d’écrivains qui cherchent à poser un nouveau regard sur le passé colonial portugais récent, et sur le processus de décolonisation qu’ils ont connu. C’est un regard neuf car il ne s’agit pas seulement de «souvenirs», cela va bien au-delà: c’est une fenêtre sur les contradictions de l’auteure qui réfléchit dans le moment présent à une époque vécue dans des circonstances sociales et idéologiques très différentes. C’est cette tension qui se révèle dans «Mozambique» comme quelque-chose dont l’auteure semble avoir une pleine conscience, jouant aussi bien avec ses souvenirs qu’avec l’analyse historique du contexte qu’elle dresse pour nous. C’est pour cela que ce livre ne s’adresse pas seulement à ceux qui ont connu le « Mozambique» de l’Empire tardif et de la guerre coloniale; c’est un livre qui s’adresse à tout le monde. Des historiens qui recherchent une écriture fluide, au lecteur curieux quant au passé portugais le plus récent, et amoureux des pages extraordinairement bien écrites. - Rui Gomes Coelho (historiador)
E ainda:
'Histoire de la périphérie du colonialisme européen contemporain»
«Quelle est la scène central du "Mozambique" (de Manuela Gonzaga)? A mon avis, c'est l'Histoire de la périphérie du colonialisme européen contemporain que permet rèflèchir, travers un jeux de miroirs, sur la vrai place du Centre actuel. Dans ce cas, il y en aura que des importantes leçons sur comment écrire des memoires (individuelles aussi bien que collectives) du XXéme siècle. C'est un livre où des histoires et des souvenirs se rejoignent avec une sérénité et une fraîcheur émouvantes. La dimension de la tâche que l'écrivaine ait proposé etait significative dans la mesure où elle a dû rappeler les bonheurs autant que les déchirements. A la fin, on voyagent dans le temps et dans le espace, sur les ailes de sa vision contrastée du monde . En effet, en se pérmettent de se déambuler entre des souvenirs reconstruites d'une jeune fille, c'est comme si nous pourrions atteindre à une partie importante de tout un siècle - Edilson Motta.